Président de EATA 1982 à 1984

A Villars, en juillet 1974, alors que j'assistais au premier congrès européen de l'AT, je ne pouvais imaginer que EATA connaîtrais une telle croissance et que je deviendrais plus tard l'un des EATA Présidents.

Au cours de ma présidence, nous avons créé de nouveaux comités, défini la description des tâches des agents et engagé la première secrétaire administrative permanente à Rome en juillet 83, Martine Bussat (qui a travaillé, plus tard sous le nom de Martine Huon, pour EATA jusqu'en 2005).

Les associations nationales européennes de TA ont choisi de rester impliquées dans l'ITAA et EATA. Je suis très heureux que nous ayons atteint cet objectif grâce à une attitude commune des différents membres du Conseil et à un engagement constant dans la communication, assurant la coopération et une volonté de compréhension mutuelle. Les lettres et les appels téléphoniques fréquents autant que les relations personnelles ont créé une atmosphère de confiance et une volonté d'investir dans la coopération mutuelle.

image017Avoir été élu au conseil d'administration de l'ITAA à l'été 82 a été pour moi une excellente occasion de travailler à la poursuite des bonnes relations entre l'ITAA et EATA, lancée par mes prédécesseurs.

Cela était d'autant plus nécessaire avec les nouveaux enjeux autour de la BOC, les mutations de la scène internationale (création de l'US TAA, croissance de l'ALAT, maturité de EATA prêts à organiser leurs propres examens) et l'attitude généreuse de l'ITAA.

Nous sommes maintenant à la veille du 10e anniversaire et du congrès de Villars. je suis sur le point de quitter le EATA Conseil comme l'exigent nos statuts. Je suis très reconnaissant à tous ceux qui ont contribué et qui sont toujours impliqués dans la promotion EATA et, à travers ce travail, l'image de TA sur les scènes nationales et internationales.

Texte tiré d'un article du EATA Newsletter 1984